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Une vie géniale
18 novembre 2012

Procrastines, ma fille, mais procrastines bien.

Cette nuit j'ai rêvé que je n'avais pas fait ma dissertation de philosophie, et que j'étais défaillante, une paria, une exclue, une moruedindron. Du coup ce matin, après une nuit malgré tout fort douce, je me dis qu'il faut que je bosse, maintenant, même si j'ai les yeux un peu englués. Je prend mon petit déjeuné et je m'y met. Serieusement c'était vraiment agréable de se mettre à travailler aussi tôt, avec autant d'entrain. Et tenez vous bien j'ai quand même fais l'intro et la première partie! Mais je m'éssoufle vite, et devant des paragraphes comme ça: "C'est plutôt le sujet qui manque au désir, ou le désir qui manque de sujet fixe ; il n'y a de sujet fixe que par la répression. Le désir et son objet ne font qu'un, c'est la machine, en tant que machine de machine. Le désir est machine, l'objet du désir est encore machine connectée, si bien que le produit est prélevé sur du produire, et que quelque chose se détache du produire au produit, qui va donner un reste au sujet nomade et vagabond."  Je me demande pourquoi la vie.

 

Du coup je prend une petite pose, et cette pose je la consacre à l'écriture d'un article sur mon blog poussièreux. 

Je ne sais pas ce que je pourrais raconter de fascinant. Ce soir je vais voir Augustine avec ma mère et mootoo, et comme mootoo je ne l'ai pas vu depuis des lustres, ça me fait plaisir. J'ai hâte de voir la performance d'actrice de Soko. Je me sens même un peu fébrile. 

"Wow que je comprenne putain.". Si elle joue avec la même intensité et la même fragilité qu'elle fait de la musique alors pour moi rien ne sera plus beau.

 

Bon j'y retourne, faut pas déconner, on te donne ça tu prends ça Maëlle. 

 

Edward Sharpes and the magnitic zeros

 

 

 

 

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